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A Nancy, une création qui joue avec le désordre et retour de la directrice désignée : émeute et fête. 

Un festival des arts hybrides où musique, arts plastiques et visuel prêtent main forte à la danse.

Le 12 novembre, à La Manufacture CDCN Bordeaux-La Rochelle, Hamid Ben Mahi et Michel Schweizer renouent les fils d’une histoire qui a vingt ans.

La danse et la féminité jouent un rôle de pivot dans ce festival, ici ouvert sur l’improbable, le temps, l’ailleurs et les crânes. 

De Biarritz à Monaco, le nouveau visage de la compagnie se révèle dans son grand classique, Vers un pays sage

POLE-SUD ouvre sa saison avec Programme(s) Commun(s) un nouveau rendez-vous autour de 14 artistes en 2 épisodes.

Boivin s’est encore embarqué dans un truc invraisemblable. Il propose, le 29 septembre à POLE-SUD, Strasbourg, un Road Movie à sa façon.

Une pièce irrévérencieuse d’Andrea Sitter. À voir à Micadanses dans le cadre de Bien Fait le 18 septembre prochain.  

Ouf ! Enfin un festival de danse en cette rentrée compliquée. Et un anniversaire à fêter, puisque Le temps d’aimer la danse, qui ouvre ce week-end, souffle ses trente bougies.

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Un festival des arts hybrides où musique, arts plastiques et visuel prêtent main forte à la danse.

Le 12 novembre, à La Manufacture CDCN Bordeaux-La Rochelle, Hamid Ben Mahi et Michel Schweizer renouent les fils d’une histoire qui a vingt ans.

La danse et la féminité jouent un rôle de pivot dans ce festival, ici ouvert sur l’improbable, le temps, l’ailleurs et les crânes. 

De Biarritz à Monaco, le nouveau visage de la compagnie se révèle dans son grand classique, Vers un pays sage

POLE-SUD ouvre sa saison avec Programme(s) Commun(s) un nouveau rendez-vous autour de 14 artistes en 2 épisodes.

Boivin s’est encore embarqué dans un truc invraisemblable. Il propose, le 29 septembre à POLE-SUD, Strasbourg, un Road Movie à sa façon.

Une pièce irrévérencieuse d’Andrea Sitter. À voir à Micadanses dans le cadre de Bien Fait le 18 septembre prochain.  

Ouf ! Enfin un festival de danse en cette rentrée compliquée. Et un anniversaire à fêter, puisque Le temps d’aimer la danse, qui ouvre ce week-end, souffle ses trente bougies.

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