Error message

The file could not be created.

Pièce étonnante du chorégraphe suisse né en Algérie Philippe Saire,

Tous les trois ans, environ, Akaji Maro, fondateur de la troupe de butô Dairakudakan, crée un solo pour lui-même.

Cette cérémonie dansée et chantée n’est pas tout à fait un Sacre païen (de plus)

Yves-Noël Genod a ouvert le festival Les Inaccoutumés à La Ménagerie de Verre, dirigée depuis 30 ans par Marie-Thérèse Allier, avec Un petit peu de Zelda.

Avec ses personnages robotiques et pourtant chargés de fureur et de violence,

La chorégraphe américaine montre, entre cour et jardins, comment une danse recrée par elle-même son contexte

Lia Rodrigues, eau-delà des apparences

Sur le papier, les ingrédients semblaient appétissants, mais périlleux : un solo, exercice sur le fil par excellence, envoûtement lorsqu’il est réussi, long tunnel d’ennui en cas d’échec

Pages

Pièce étonnante du chorégraphe suisse né en Algérie Philippe Saire,

Tous les trois ans, environ, Akaji Maro, fondateur de la troupe de butô Dairakudakan, crée un solo pour lui-même.

Cette cérémonie dansée et chantée n’est pas tout à fait un Sacre païen (de plus)

Yves-Noël Genod a ouvert le festival Les Inaccoutumés à La Ménagerie de Verre, dirigée depuis 30 ans par Marie-Thérèse Allier, avec Un petit peu de Zelda.

Avec ses personnages robotiques et pourtant chargés de fureur et de violence,

La chorégraphe américaine montre, entre cour et jardins, comment une danse recrée par elle-même son contexte

Lia Rodrigues, eau-delà des apparences

Sur le papier, les ingrédients semblaient appétissants, mais périlleux : un solo, exercice sur le fil par excellence, envoûtement lorsqu’il est réussi, long tunnel d’ennui en cas d’échec

Pages