Amoureux d’une danse sur pointes qui vise l’excellence, Jean-Christophe Maillot nous offre sa relecture de La Bayadère, monument du Répertoire classique. Création à Monaco le 27 décembre !
Réflexion sur notre rapport à la rigidité et la puissance, ce solo travaille un corps masculin, apparemment sans volonté propre
Deux solos féminins ont ouvert la 4e édition de ZOA, jeune festival qui explore les zones frontalières de la danse.
La Figure du Gisant à la Basilique de Saint-Denis fut sans doute l’événement majeur du cycle Monuments en Mouvement.
Très belle surprise que cette courte pièce du Congolais Andréya Ouamba présentée cette semaine au Théâtre des Abbesses à Paris.
C'est dans une salle Gémier entièrement transformée que l'on retrouve Anne N’Guyen, dans une nouvelle aventure menée avec rigueur et élégance.
En ouverture de saison à l'Atelier de Paris, un solo et un trio à l’intimité grandiloquente.
Le Tanztheater allemand a fait irruption dans la compagnie phare du paysage helvète. Une aventure très particulière.
Pourquoi chorégraphiez-vous ? Je sors d’une famille très humble. Mon père était maçon, ma mère coiffeuse.
Quand Hofesh Shechter déchire le soleil (« Sun ») C’est une drôle d’histoire.
C’est bien l’effet qu’elle fait, dans Plexus. Mais Aurélien Bory, son metteur en scène de chorégraphe, et avant tout son scénographe, insiste
Pour fêter ses vingt ans à la direction des Ballets de Monte-Carlo, le chorégraphe Jean-Christophe Maillot a choisi de remonter Casse-Noisette.
En regardant « Switch » de Jean-Christophe Maillot, on songe à « Afternoon of a Faun » de Jerome Robbins,
La guerre s’est imposée comme sujet central chez les chorégraphes congolais, des deux côtés du fleuve Congo.
Pourquoi chorégraphiez-vous ? Je ne peux que reprendre la formule de Beckett : "Bon qu'à ça".