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Si  iTMOi  (In the mind of Igor) s’inscrit dans les commémorations du centenaire du « Sacre du printemps »,

La blancheur des corps irradiés
Carlotta Ikeda et Ko Murobushi mettent le butô sur la voie du nucléaire

Renée en botaniste dans les plans hyperboles Karl Biscuit et Marcia Barcellos ont encore frappé. L’imagination. Avec ce nouvel OPNI (objet poétique non identifié)

Michael Keegan Doolan est Irlandais. À 17 ans,  on l’a envoyé rencontrer une sorte de  prêtre-conseiller-confesseur pour l’orienter dans sa vie professionnelle.

Après Quiet vu en octobre dans ce même Théâtre national de Chaillot (lire ci-dessous) , Arkadi Zaides poursuit son exploration intime et engagée du contexte israélien

Changer ou mourir. Avait-il cette phrase en tête lorsqu’il s’est mis à marcher jusqu’à en mourir Robert Walser ?

Soirée Béjart/Nijinski/Robbins/Cherkaoui-Jalet à l’Opéra de Paris.

Inconnue en France mais reconnue en Scandinavie,  seule chorégraphe norvégienne à avoir reçu deux fois le prix de la critique

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Si  iTMOi  (In the mind of Igor) s’inscrit dans les commémorations du centenaire du « Sacre du printemps »,

La blancheur des corps irradiés
Carlotta Ikeda et Ko Murobushi mettent le butô sur la voie du nucléaire

Renée en botaniste dans les plans hyperboles Karl Biscuit et Marcia Barcellos ont encore frappé. L’imagination. Avec ce nouvel OPNI (objet poétique non identifié)

Michael Keegan Doolan est Irlandais. À 17 ans,  on l’a envoyé rencontrer une sorte de  prêtre-conseiller-confesseur pour l’orienter dans sa vie professionnelle.

Après Quiet vu en octobre dans ce même Théâtre national de Chaillot (lire ci-dessous) , Arkadi Zaides poursuit son exploration intime et engagée du contexte israélien

Changer ou mourir. Avait-il cette phrase en tête lorsqu’il s’est mis à marcher jusqu’à en mourir Robert Walser ?

Soirée Béjart/Nijinski/Robbins/Cherkaoui-Jalet à l’Opéra de Paris.

Inconnue en France mais reconnue en Scandinavie,  seule chorégraphe norvégienne à avoir reçu deux fois le prix de la critique

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