La chorégraphe déplace, jusque dans les zones les moins limpides, les transactions du sexe et du pouvoir.
Quitte à s'y égarer en partie, le chorégraphe revient en solo pour procéder à une radicale mais tendre mise à nu.
Trois femmes et trois idiomes chorégraphiques baissent la vitesse pour mieux se comprendre.
Une énorme salade au Centquatre : Légumes, herbes, musique et quatre chorégraphes, venus des quatre coins du globe.
Ana Rita Teodoro tresse, magnifiquement, une improbable rencontre du chant traditionnel de son pays, et du butô, qui la passionne.
Danseurs et boxeurs professionnels se partagent le plateau dans une revue humoristique, sensible ou sauvage.
Un essai très épuré sur l’érotisme comme jardin japonais, à l'affiche du festival Drôles de dames, à Mâcon.
Nicolas Le Riche, devenu directeur du Ballet Royal de Suède revient créer au ballet de l’Opéra de Bordeaux un nouvel opus.