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La parole et le regard cardinaux de la critique Lise Brunel inspirent un travail d'exploration archivistique passionnant – et une traduction

Los Pájaros Muertos (Les oiseaux morts) de Marcos Morau ouvraient cette 18e Biennale de la danse du Val-de-Marne.

Rebaptisée Salon Musical, cette soirée confiée aux jeunes chorégraphes, jeunes danseurs et jeunes instrumentistes maison a été une belle surprise.

Badke commence dans le noir et dans le silence. On entend des pas qui frottent, des martèlements, des déplacements, des rythmes émergent, des voix.

Lux Tenebrae de Bernardo Montet, le troisième volet d’un triptyque basé sur la notion du vulnérable.

Dernière création de John Neumeier pour le Ballet de l'Opéra de Paris, ce Chant de la terre s'avère plutôt décevant.

La mort nous appelle aux limites. Une pièce néo-expressionniste cultive ce glissement permanent.

Pensamento Tropical, programmé au sein du Festival DañsFabrik 2015, est un focus sur la danse contemporaine brésilienne.

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La parole et le regard cardinaux de la critique Lise Brunel inspirent un travail d'exploration archivistique passionnant – et une traduction

Los Pájaros Muertos (Les oiseaux morts) de Marcos Morau ouvraient cette 18e Biennale de la danse du Val-de-Marne.

Rebaptisée Salon Musical, cette soirée confiée aux jeunes chorégraphes, jeunes danseurs et jeunes instrumentistes maison a été une belle surprise.

Badke commence dans le noir et dans le silence. On entend des pas qui frottent, des martèlements, des déplacements, des rythmes émergent, des voix.

Lux Tenebrae de Bernardo Montet, le troisième volet d’un triptyque basé sur la notion du vulnérable.

Dernière création de John Neumeier pour le Ballet de l'Opéra de Paris, ce Chant de la terre s'avère plutôt décevant.

La mort nous appelle aux limites. Une pièce néo-expressionniste cultive ce glissement permanent.

Pensamento Tropical, programmé au sein du Festival DañsFabrik 2015, est un focus sur la danse contemporaine brésilienne.

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